Un, Deux , Puis trois …
Un, deux, puis inévitablement trois
Puis toi, ici et là avec moi
Mais jamais à mes cotés,
Jamais vraiment. Comme rien qu’une idée,
tu es partis sans rien laisser
Seule une odeur de ton départ plané sur cette ambiance.
Toi qui t’en va, moi qui reste là
Comme cette fin que j’avais tant pressentie
Y a-t-il un Dieu qui pourra remplacer ce toi pour moi ?
Y a-t-il au moins une raison pour que ce moi se retrouve sans toi ?
Que je ressente ce vide en moi,
cet immense trou rempli comme de rien
Tu m’avais promis et je ne voulais pas y croire,
je voulais juste me préserver, me protéger.
Et tu as lapidé mes rêves et mes projets
Loin de moi l’idée de te regretter, ou de t’en vouloir,
Loin de moi l’idée de te détester,
Je ne suis qu’un homme, tout comme toi.
Et moi, je préfère te regarder partir !
Me dire que ceci n’est que la fin d’un début merveilleux
Et toi ?
Ne pourrais-tu pas te contenter,
de cette histoire,
De ces bisous, de cet Amour,
sans rien gâcher …
Il y a ceux qui ont toujours étaient amoureux …
Il y a ceux qui ne le seront jamais …
Et entre ça, il y a toi, et moi, qui l’avons étaient …
Preston D