Ecrire pour ne plus penser, écrire pour supporter la vie...
Se livrer, un peu, afin de supporter l'envie...
Eloigner les idées sombres, gommer les faces du dé...
Que les valeurs ajoutées s'y laissent emporter...
Pour que la vie entre mes mains, prolifique...
Claustre ses ombres sournoises, soporifiques...
Que le trafic cesse, loin du stress et des sos....
Que les cries s'abstiennent durant les prouesses,
D'un instant emprunté à un passé épris de mépris,
Dont les hurlements cesseraient pendant que je prie....