J'ai promis que je te ferais un petit commentaire.
Sauf que tu connaîs mon emploi du temps.
Ce soir, si Noël ne m'a pas tué ! x)
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Voilà, je suis revenue en vie de ces deux heures en compagnie du dit Noël et donc me voici, comme promis :
J'aime ce sentiment d'assurance et de sûreté qui se dégage du texte.
C'est empreint de volonté et de sensualité à la fois, de certitude et de mystère.
Je débarque sur le quai
Avec ma courte robe azurJ'aime l'intro, toute simple, mais l'image "je débaruqe sur le quai" me plaît parce que je l'interprete comme un "je me lance dans la vie, sur le théâtre de l'existance"...
Laissant les regards indiscrets derrière moi
Avançant d’un pas plus que féminin
Avec mes talons aiguilles
L’allure plus que sûre d’elleC'est marrant, ce "jemenfoutisme" me rappelle un peu...ma propre attitude. Talons aiguilles exceptés par contre ! :p
Encore la volonté d'être et d'avancer au mépris des regards et des jugements extérieurs : j'accroche !
Une femme qui se dévoile et qui suit ses enviesWe are in the place !
Disant ne pas pouvoir échapper à sa destinée
Déjà tracée, il n’y a plus qu’à la traverserJ'espère quand même que celle qui a l'air de m'être destinée n'est pas celle qui m'attend : je préfererais suivre celle que je me suis choisie... Le chemin risque d'être long et périlleux par contre : la traversée sera mouvementée.
Elle redeviendra elle même le temps de la rentrée.J'adore la chute de ton poeme. Me demande pas pourquoi.
D'un côté je trouve dommage d'effacer l'image de la femme assurée et volontaire de tout le poeme mais de l'autre côté cette discretion et cette brusque coupure dans la volupté précédente fait tout le charme de cette fin alors...
In Candide ? Soon ?