premier éssai d'une nouvelle
Cette nouvelle n'a pas encore de titre
Je m’appelle Ludwig Faszler, en cette année 1931 je vivais en Russie avec mon père, j’avais 13 ans, ma mère est morte d’une grave maladie il y a deux ans de cela, quand à mon père était juge, j’avais un frère , Isidor il avait 17 ans et depuis la mort de notre mère il était devenu fou et avait une rage incontrôlable envers les médecins qui ne purent sauver notre mère si bien qu’un jour mon frère fut arrêté pour meurtre , il avait assassiner un jeune étudiant en médecine de son université , se fut un grand désespoir pour mon père qui dut lui-même juger son propre fils… Isidor fut emprisonné dans un Asile près de notre ville bien que mon père m’en interdise je lui rendais visite tous les jours, puis toute les semaines, puis tous les mois puis j’ai arrêté de le voir, il me faisait peur, il avait les yeux injecté de sang et un visage d’une blancheur écarlate comme si tout sentiment avait étai ôté de son âme. A la maison le bonheur sur le visage de mon père se faisait rare plus rare encore que le soleil sur notre petit village de Russie, mais il avait toujours fois en mon frère, toujours fois qu’Isidor sorte de l’asile pour bonne conduite et que tout redeviennes comme avant.
Mais malheureusement deux ans plus tard mon frère s’est échappé de prison et mon père est retrouvé mort les tripes or du corps, bien que la presse fut un lien avec sa mort et l’évasion d’Isidor je ne peux toujours pas admettre qu’il est fait ça, la presse dit que je serais le prochain sur la liste même si à l’époque je ne peux pas m’en résoudre à sa plus tard je comprendrais qu’ils avaient raison. N’ayant plus de famille je fus placé en orphelinat puis un mois s’écoulât et des meurtres furent commis tous les soirs « Isidor » pensai je en lisant le matin les journaux. Dans l’orphelinat 5 enfants plus âgé que mois était la car leurs parents avait été assassiné par Isidore et tous reporter la faute sur moi je me faisais donc meurtrir par mes camarade de chambre. Une nuit j’entendis des cris, des cris effrayants, j’entendis des pas et des portes claqué puis j’entendis crier mon nom : LUDWIG !!!!!! LUDWIG !!!!!! J’étais terrorisait mais je reconnaissais cette voix familière je ne comprenais pas pourquoi mon frère m’en voulait , les pas se raprochére et tonnait sur le sol, j’étais emmitouflé dans mon drap son mon lit et j’attendais la mort puis les bruits séssairent je sortis la tête et vis mon frère le visage livide laissant apparaitre des giclés de sang sa joue,
je voulus crier mais de ma bouche ne sortis aucun son , et il me dit « tu m’a laissé pourrir dans cette asile trop longtemps finalement tu es comme notre père… ». D’autres pas se firent entendre ainsi qu’une voix « stop police les mains sur la tête monsieur Faszler !!! » Je vis mon frère se dressées, les policiers derrière lui, il s’enfuit mais avant me dit qu’il e retrouveras et me tueras qu’importe où j’aille…
Depuis le drame vingt-quatre ans se sont écoulé J’ai une femme et un fils mais plus une nuit se passe sans que je ne repense à Isidor, mon frère , mais je sais qu’il me cherche qu’il me traque et qu’il ne séceras jamais de me chercher et que le mal que je lui ai fait est impardonnable et que la haine envers sa famille le ronge de jours en jours , mais cette nuit il m’a trouvé, il est là, j’entant mon fils et ma femme poussait des cris mais je n’ai pas le courage d’intervenir tous mes membre tremble en écrivant cela, je vais mourir je le sait plus que quelque pas plus que quelque secondes et la mort frapperas à ma porte je ne tenterais pas de m’enfuir , de toute façon il me rattraperas où que je serais il me tueras…
merci de votre attetion